De son propre aveu, Jonathan Coe ne sait pas « faire court » donc lorsqu’il entreprend de compter ses nouvelles pour les rassembler dans un ouvrage, les doigts d’une seule main suffisent. Voici donc son « best few » sous la forme de trois nouvelles et un article pour les cahiers du cinéma :
Ivy et ses bêtises : le persiflage de l’austère tante Ivy a-t-il convoqué une inquiétante apparition fantomatique ? A Birmingham, est-on déjà en route pour l’Ecosse ?
9ème et 13ème : un pianiste de bar projette ce qu’aurait pu être sa vie s’il avait répondu de façon différente à la jeune femme venue l’accoster. Occasion ratée comme un accord imparfait, voici la nouvelle éponyme du livre qui séduira particulièrement les amateurs de musique.
Version originale : un malentendu sentimental, projeté en VO fait écho à la situation ambiguë dans laquelle s’est fourvoyée (pour la seconde fois quand même…) un compositeur invité à un festival poussif de films d’horreur.
J’emploierai le même adjectif pour qualifier cette nouvelle…
J’emploierai le même adjectif pour qualifier cette nouvelle…
Journal d’une obsession : où l’on apprend que Jonathan Coe aurait pu briguer la chaire d’holmésologie (voir la chronique sur Le mystère Sherlock).
Le very best of était donc à la fin.
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